(Extrait, voir ci-dessous pour le film en entier)
Ni le paradis ni le contre ( Neither heaven nor the contrary)
Alexandrie, 23 min, 2010
Dans le magasin de Noubar, les boîtes à chaussures s’entassent comme des boîtes à souvenirs. Ni le paradis ni le contre reflète en miroir la relation de Noubar et la mienne, à la ville d’Alexandrie, au deuil, au paradis perdu.
In Noubar’s shop, shoe boxes are piling up like memory boxes. Neither heaven nor the contrary plays with my own memory and relationship with the city of Alexandria and the one of the protagonist, an armenian shoe seller