Once Upon Utopia (Alexandria)
(Alexandrie, 2008-2010)
Capitale de la mémoire, Alexandrie est “notre lieu de naissance” selon Foucault. Ces personnages appartiennent à un monde en voie de disparition. Le décor n’est plus ici un lieu de consommation mais celui de l’inconscient. Ces Alexandrins ont un air de fantômes, gardiens d’un monde en ruines. Leurs regards semblent plonger dans le passé ou pressentir une révolution à venir.
I use Alexandria as a stage to play with memory, mixing collective and individual fiction. These characters belong to a world in a verge to disappear. The decor belong to their unconscious. These Alexandrians looks like ghosts, guardians of a ruined world. Their gazes seem to plunge into the past or sense a revolution to come.